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Réflexion sur le couple et sa longévité.

3 décembre 2014

La stagione del tuo amore : Fabrizio de Andrè

"La stagione del tuo amore" est une magnifique chanson de Fabrizio de Andrè sur l'amour qui ne s'altère pas malgré les années qui passent.

Ce chanteur Italien, peu connu en France a fait de nombreuses adaptations en Italien des chansons de Georges Brassens. Celle-ci bien entendu n'en est pas une.

Voici les paroles en Italien puis en Anglais, et le lien pour l'écouter :

https://www.youtube.com/watch?v=3iq7FwuQQCY

"La stagione del tuo amore"

La stagione del tuo amore
non è più la primavera
ma nei giorni del tuo autunno
hai la dolcezza della sera.
Se un mattino fra i capelli
troverai un po' di neve,
nel giardino del tuo amore
verrò a raccogliere il bucaneve.

Passa il tempo sopra il tempo
ma non devi aver paura
sembra correre come il vento
però il tempo non ha premura.
Piangi e ridi come allora
ridi e piangi e ridi ancora
ogni gioia, ogni dolore
puoi ritrovarli nella luce di un'ora.

 

"The season of your love"

The season of your love
is not more the spring
but in the days of your autumn
You have the sweetness of the evening.
If a mornings between the hairs
You will find some snow,
in the garden of your love
I will come to pick up the snowdrop.

Spends the time over the time
but you doesn't have to be afr

 

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14 septembre 2014

Angus et Julia Stone : I'm not yours

J'aime ce morceau d'Angus et Julia Stone même si la vidéo n'est pas à prendre en exemple pour ce qui est de longévité des couples!

Voici le lien : https://www.youtube.com/watch?v=Uj1AOKUPYTY

Bonne écoute. A bientôt.

 

28 août 2014

"Lorsqu'on demande à un couple comment..."

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À l'heure de la consommation à outrance, y compris des rapports humains, j'aime cette phrase et j'aimerai qu'elle soit un message d'avenir et pas un regard porté sur le passé.

13 avril 2014

Sexe ou amour?

Une vidéo à visionner jusqu’au 18 avril 2014sur le site d'arte+5.

C’est un documentaire intéressant sur l’évolution de la vision du sexe, de l’attachement et de l’amour depuis la révolution sexuelle des années 60. Il y a différents points de vue, et chacun se reconnaitra dans l’un ou l’autre.

http://www.arte.tv/guide/fr/042252-001/les-dernieres-nouvelles-du-sexe-1-3?autoplay=1

8 mars 2014

Des mots pour essayer de comprendre.

Je tape ces mots sur le clavier pour essayer de comprendre. Je sais qu'il vaut mieux parfois que les gens se séparent lorsque ça ne va plus. Chacun est libre de choisir son mode de vie. On peut aussi choisir d'être célibataire, sans enfant. On peut souhaiter ne vivre que d'histoires éphémères, vivre l'instant et papillonner. Tous les choix sont possibles. Il n'y a pas qu'un modèle, qu'une norme. J'ai choisi de me marier, d'avoir des enfants, et je souhaite que cette histoire dure toujours, mais j'aurais pu faire un tout autre choix. Je n'aurais peut-être pas été moins heureuse. Tout ça pour dire que je ne juge aucun mode de vie. Tout choix est légitime, mais ce que je déplore c'est le manque de pensée pour les autres. On peut vouloir vivre « libre », mais on l'est d'autant plus lorsqu'on le fait sans nuire aux autres, en n'oubliant pas qu'ils ont eux aussi des sentiments.

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23 février 2014

Heureusement, le couple a évolué depuis les années 50 !

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Notre société est en mutation permanente. Fort heureusement d’ailleurs, ce serait terrible de vivre encore à l’époque préhistorique. Sans remonter si loin, j’ai envie de parler de quelques textes, évoqués dans un précédent commentaire. Ces textes sont extraits d’un vieux livre de morale à l’école (livre du maître). Le livre date de 1950 et fait référence aux programmes officiels scolaires de 1923. Ils décrivent le rôle de l’homme, de la femme et leur place dans la famille à l’époque.

Les choses ont bien changé heureusement. La femme n’est plus ni cantonnée aux tâches ménagères, ni condamnée à rester à la maison. Aujourd’hui la conception de la famille et du couple continuent d’évoluer. Mais, tandis que l’évolution précédente représentait à mes yeux un réel progrès (plus d’égalité, la fin de la soumission de la femme …), je trouve que la société actuelle est plutôt en régression. Les familles éclatent, les enfants sortent bien souvent blessés de ces séparations. Aujourd’hui on tend à vouloir vivre plusieurs vies. La structure familiale éclate. La notion de famille est elle-même en train d’être redéfinie, en voix de disparition telle que nous la connaissions auparavant. Les couples ne durent pas, les familles se décomposent, se recomposent, on veut être libre de tout faire, libre de tout vivre, on pense à soi avant de penser aux autres, quid des enfants dans tout ça ? Les rapports sociaux et familiaux se modifient. Je n’arrive pas à voir cette évolution comme un progrès. Effectivement, le progrès devrait nous mener vers un mieux-être. Or les gens semblent moins heureux, dans les rapports humains, et en cela, je vois plus un déclin qu’un progrès. J’espère me tromper, certains me contrediront surement d’ailleurs. Ma vision est sans doute réductrice, peut-être que je raisonne avec un état d’esprit d’autrefois. Et tout comme ces textes des années 50 me paraissent ringards, je semble peut-être complètement ringarde aux yeux de certains.

 

9 février 2014

Le monde virtuel est plein de tentations.

C’est ce qu’écris Trickofmymind dans son dernier commentaire. Le monde virtuel serait l’ennemi des couples et de la fidélité. Grâce au virtuel, nous avons tous la possibilité de façonner notre image. Les rapports virtuels sont idylliques tant qu’il y a la distance. Qu’en est-il lorsqu’on se rencontre ?

Sans jamais avoir existé dans le monde réel, certaines amours virtuelles parallèles peuvent même totalement déstabiliser voire, détruire le couple réel officiel.

Je pense au livre de Nicolas Farges : « J’étais derrière toi » : C’est l’histoire d’un couple avec deux enfants, qui bascule après la rencontre furtive mais « réelle », entre le mari et une autre femme, rencontre qui se poursuit virtuellement (à cause de la distance), et qui vient peu à peu miner l’histoire du couple officiel et réel.

Comment vivra l’humanité dans quelques années ? Saurons-nous encore vivre auprès de quelqu’un après avoir rêvé l’idéal à distance. Saurons nous encore accepter les petits tracas du quotidien, les défauts de l’autre, ou vivrons-nous par procuration à travers l’image que nous nous sommes créée virtuellement ?

29 janvier 2014

Les choix de vie.

Quelqu'en soit le domaine, amour, travail, lieu de vie, nous sommes tous amenés à faire des choix. C'est ce qui déterminera notre mode de vie... Certains préfèrent ne pas en faire, ne pas se prononcer, laissant ce qu'ils appellent "le destin" décider pour eux. En réalité ce n'est pas le destin qui guide leur vie, mais souvent les autres qui choisissent pour eux.
On peut choisir de vivre à deux... Choisir de n'aimer qu'une personne, partager sa vie, son quotidien, ses joies, ses peines. Alors, on n'est jamais seul dans la chaleur d'une famille qu'on aura choisi de fonder, pour partager, respecter l'autre, vivre et réaliser des rêves avec l'autre... s'aimer pour la vie, et lutter ensemble contre les difficultés. Ce choix là n'est pas si évident. Il faut trouver la personne avec laquelle on aura envie de partager tout ça.

D'autres font le choix de vivre plusieurs vies... Rencontrer plein de gens, vivres plein d'histoires "d'amour", pour ne pas se lasser, pour assouvir un besoin de plaire, pour vivre intensément... Ou par peur de s'attacher, peur de souffrir en perdant l'autre... Ou pour d'autres raisons que je ne connais pas.
D'autres vivent avec quelqu'un, le trompent avec un autre...
D'autres, je ne sais pas, à eux de raconter leur point de vue.
Notre société nous laisse le choix, il n'y a plus de norme bien définie, aucune règle qui nous dit ce qui est bien ou ce qui ne l'est pas. Nous vivons dans une société qui nous laisse en apparence plus de liberté... Et pourtant de plus en plus de gens semblent malheureux dans leur rapport aux autres.

 

6 janvier 2014

Deux points de vue divergents sur le couple.

Je pense à un article paru dans le dernier philosophie magazine. Deux philosophes, avec deux points de vue totalement opposés communiquent par lettre, à propos de l’amour, en se demandant s’il peut se décliner au pluriel.

L’un, (Pascal Bruckner), distingue l’amour durable (disons l’officiel), des amours parallèles (les aventures), en considérant la seconde comme quelque chose de normal et qui s’intègre au couple sans le démolir.

L’autre philosophe (Eva Illouz), déplore la multiplication des aventures sur ce qu’elle nomme le « nouveau marché de l’amour ». Elle met au dessus de tout la passion pour un seul être.

La question posée dans leur « débat » est finalement de savoir s'il est possible d'aimer un seul être, ou si la vie de couple « officielle » ne peut exister qu'un temps, pour ensuite laisser place à d'autres histoires parallèles, (et parfois donc à la rupture!)

L'article est très intéressant et j'avoue partager plus volontiers l'opinion d'Eva Illouz, qui met au dessus de tout l'être aimé au nom de la passion et l'abandon de soi à cet être.

15 décembre 2013

Une société dans laquelle priment les apparences ?

Gattaca91 me demande pourquoi tant de couples se séparent dans mon entourage. Il y a différentes raisons à cela. Je suppose qu’à 40 ans on aspire parfois à autre chose. On a envie d’une seconde vie pendant qu’il en est encore temps, si on a été déçu par la première. Moi je me dis qu’on est souvent amené, avec un autre ou une autre, à reproduire un schéma identique au précédent, et je préfère essayer de préserver la pérennité de mon couple plutôt que d’essayer d’en changer. Je dis ça parce que ça ne va pas trop mal je pense. Bien sur, il y a des disputes, parfois très désagréables, qui pourraient mener un jour à la rupture. Rien n’est jamais acquis.

Gattaca91 dans son commentaire parle du dictât du paraître. Comme je l’ai dit, j’attache peu d’importance au physique. Et si je devais craquer pour un autre, ce serait pour son intellect, son humour, sa gentillesse… Ce sont des choses qui ne s’effacent pas, même à 70 ans ! Et même ce sont des choses qui peuvent se bonifier avec le temps.

Pour ce qui est du physique, à 40 ans, je pense ne pas être trop mal encore. Je pèse autant qu'à 20 ans, et mes rides ne me vont pas si mal. Mon mari les aime en tout cas. Bien sur, je ne suis pas un top modèle de 16 ans, et je vieillirai encore… Finalement, Le message de Gattaca91 me fait réagir, et me permet de comprendre qu’effectivement, à 40 ans, il y a bien d’autres centres d’intérêt que le physique. Mon bilan n’est pas si mauvais.

Si je le voulais je sais que je pourrais plaire encore beaucoup. Et même, ça me fait peur parfois… peur d’être tentée lorsque je plais. Mais ça m’apporterait quoi de plus?

 

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